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Titre : Evolution des compétences en communication avec le Système de Communication par Echange d'Images : chez cinq enfants avec autisme accueillis dans un hôpital de jour de pédopsychiatrie Type de document : revue Auteurs : Sandie MONTANARI, Auteur ; Luc VANDROMME, Auteur ; Jean-Marc PEROT, Auteur ; (et al.) Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.205-213 Note générale : Bibliogr. p.213 Langues : Français (fre) Mots sujets : Thésaurus PRISME 2014
AUTISME ; ENFANT ; HOPITAL DE JOUR ; COMMUNICATION ; COMMUNICATION NON-VERBALE ; METHODE D'APPRENTISSAGE ; INTERACTION ; ATTENTIONRésumé : " Introduction : Parmi les interventions focalisées sur la communication pour les enfants autistes, le Système de Communication par Échange d’Images, semble emporter l’adhésion de nombreuses institutions et orthophonistes bien que peu d’études fondamentales montrent réellement son efficacité. Dans le cadre de la formation au Système de Communication par Échange d’Images dans un hôpital de jour de Picardie, nous avons suivi la mise en place de cette méthode.
Objectif : Nous avons souhaité étudier les apports de l’utilisation du Système de Communication par Échange d’Images sur les compétences en communication de cinq enfants autistes.
Méthode : Nous avons évalué les compétences en communication de ces cinq enfants grâce à l’Échelle de Communication Sociale Précoce de M. Guidetti et de C. Tourette et à l’Échelle d’Évaluation de l’Autisme Infantile de E. Schopler à six mois d’intervalle.
Résultats : Nos résultats montrent des progrès pour les cinq enfants en ce qui concerne le niveau d’apprentissage du Système de Communication par Échange d’Images. On observe un maintien ou un léger progrès dans les résultats de l’Échelle de Communication Sociale Précoce pour les cinq enfants. Les progrès observés concernent les trois domaines de l’échelle (interaction sociale, attention conjointe et régulation du comportement).
Conclusion : Cette étude préliminaire pourrait être élargie à une recherche sur plusieurs hôpitaux de jour et poursuivie dans la durée afin d’évaluer si l’utilisation du Système de Communication par Échange d’Images a en effet un intérêt à long terme. "
in Perspectives Psy > n°3 (2015/07-09) . - p.205-213Montanari, S., Vandromme, L., Perot, J.M., (et al.), . (2015, Juillet). Evolution des compétences en communication avec le Système de Communication par Echange d'Images : chez cinq enfants avec autisme accueillis dans un hôpital de jour de pédopsychiatrie. Perspectives psy, (3), p.205-213.
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Titre : Comment l’interlocution de la rencontre clinique œuvre-t-elle sur la souffrance psychique ? Type de document : revue Auteurs : Dorothée LEGRAND, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.214-221 Note générale : Bibliogr. p.220-221 Langues : Français (fre) Mots sujets : Thésaurus PRISME 2014
PSYCHANALYSE ; PHILOSOPHIE ; PAROLE ; SOUFFRANCE PSYCHIQUE ; PERSONNALITERésumé : " Ni une évaluation des concepts du clinicien, ni une narration des vécus subjectifs du patient, ni une corrélation avec des données objectives, ce qui est proposé ici est une contribution philosophique à la rencontre clinique, soit une investigation de la manière dont la rencontre clinique peut impacter la souffrance psychique. La psychanalyse sera prise pour paradigme d’une discipline qui élève l’interlocution au rang d’une technique : mettant en œuvre un processus de subjectivation par une technique intersubjective, le psychanalyste s’intéresse au sujet dans sa singularité subjective unique, mais il n’oublie jamais que, ce sujet, il ne le rencontre que dans une interlocution intersubjective. Ici, l’hypothèse de travail est que, par l’interlocution, la capture d’un sujet dans sa souffrance intolérablement close sur elle-même peut devenir un appel ouvert à l’autre. C’est par cette ouverture que la souffrance cesse d’être souffrance pure et est métamorphosée en la matière même de la rencontre entre deux sujets. Comment donc rencontrer l’autre ? Comment l’interlocution est-elle possible si l’autre est irrémédiablement autre, si sa souffrance est incommensurable au regard de la mienne ? On ne peut pas surestimer la violence inhérente à cette question, son pouvoir d’exclusion; il faut donc la renverser, et se demander alors : comment rencontrer l’autre serait-il possible, s’il n’était pas autre ? L’altérité de l’autre n’est pas un obstacle à la rencontre, mais au contraire ce sans quoi il ne pourrait y avoir interlocution entre deux sujets singuliers. C’est la puissance thérapeutique d’une telle interlocution qui est étudiée ici. "
in Perspectives Psy > n°3 (2015/07-09) . - p.214-221Legrand, D. (2015, Juillet). Comment l’interlocution de la rencontre clinique œuvre-t-elle sur la souffrance psychique ?. Perspectives psy, (3), p.214-221.
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Titre : L'Observance du traitement psychosocial chez des détenus fédéraux présentant une schizophrénie Type de document : revue Auteurs : France GABRION, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.222-230 Note générale : Bibliogr. p.229-230 Langues : Français (fre) Mots sujets : Thésaurus PRISME 2014
DETENU ; SCHIZOPHRENIE ; RELATION SOIGNANT-SOIGNE ; SOCIALISATION
Thesaurus Candidats Descripteur
CANADARésumé : " Cet article porte sur l’observance du traitement psychosocial chez des détenus fédéraux et schizophrènes. Après une recension des écrits, nous exposons la méthodologie utilisée, trois cas d’intérêt et une analyse de ceux-ci, pour terminer avec des recommandations. Suite à l’analyse des trois études de cas dans un centre correctionnel communautaire, il semble que la clientèle judiciarisée et schizophrène ne reçoive pas des services entièrement adaptés à ses déficits au niveau des compétences sociales. En somme, avant d’être remis en liberté, il serait souhaitable que ces hommes reçoivent du soutien quant à l’acquisition des savoir-faire et savoir-être nécessaires à toute socialisation. "
in Perspectives Psy > n°3 (2015/07-09) . - p.222-230Gabrion, F. (2015, Juillet). L'Observance du traitement psychosocial chez des détenus fédéraux présentant une schizophrénie. Perspectives psy, (3), p.222-230.
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Titre : Entre protestation et désespoir, expliquer l’acte d’auto-immolation par le feu Type de document : revue Auteurs : Audrey COUILLET, Auteur ; Pierre DEPRAZ, Auteur ; Anne DUMONT, Auteur ; Jean-Louis TERRA, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.231-238 Note générale : Bibliogr. p.237-238 Langues : Français (fre) Mots sujets : Thésaurus PRISME 2014
SUICIDE ; PASSAGE A L'ACTE ; CONTESTATION
Thesaurus Candidats Descripteur
FEURésumé : " Qui sont ces personnes qui s’immolent par le feu à travers le monde ? En effet, même si l’auto-immolation est décrite dans les médias, elle est encore peu connue de la psychiatrie. Dans les pays développés, l’immolation représente 0.6 à 1% des suicides et touche les hommes d’âge moyen avec des antécédents psychiatriques. Elle atteint jusque 40% des suicides dans les pays émergents, avec des passages à l’acte chez de jeunes femmes au foyer, qui peuvent présenter des troubles de l’adaptation. L’auto-immolation aurait un sens, elle exercerait une attraction pour ces personnes qui la choisiraient comme un moyen de suicide acceptable, malgré la mort lente et douloureuse qu’elle entraine. Forme extrême de protestation, cet acte survient dans un lieu fort de sens. Le but du geste est de voir opérer un changement, de déclencher des réactions, parfois au prix de sa vie. "
in Perspectives Psy > n°3 (2015/07-09) . - p.231-238Couillet, A., Depraz, P., Dumont, A., Terra, J.L. (2015, Juillet). Entre protestation et désespoir, expliquer l’acte d’auto-immolation par le feu. Perspectives psy, (3), p.231-238.
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Titre : Théâtre et toxicomanies : Dom Juan et le parcours du toxicomane Type de document : revue Auteurs : Michel WEINSTADT, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.239-244 Note générale : Bibliogr. p.244 Langues : Français (fre) Mots sujets : Thésaurus PRISME 2014
TOXICOMANIE ; ATELIER ; THEATRE ; ESPACE TRANSITIONNEL
Thesaurus Candidats Descripteur
MEDIATION THERAPEUTIQUERésumé : " Une médiation thérapeutique comme le théâtre vient faire tiers pour les toxicomanes. L’enjeu est de trouver une bonne distance psychique avec les patients.
La pluralité des participants dans un atelier-théâtre permet qu’une relation tolérable se crée et rend le transfert moins excitant et moins aliénant.
En m’appuyant sur l’exemple d’Éric, patient âgé de quarante ans, je tente de montrer que Dom Juan de Molière lui a redonné le plaisir de jouer.
Par les réflexions que Dom Juan a suscitées, par les rapprochements que nous pouvons trouver entre le parcours de Dom Juan et celui du toxicomane, il arrive à parler authentiquement de son expérience. "
in Perspectives Psy > n°3 (2015/07-09) . - p.239-244Weinstadt, M. (2015, Juillet). Théâtre et toxicomanies : Dom Juan et le parcours du toxicomane. Perspectives psy, (3), p.239-244.
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Titre : Hystérie et obsessionnalité au regard du DSM : comparaison de diagnostics psychiatriques athéoriques et psychopathologiques psychanalytiques Type de document : revue Auteurs : Marielle VUILLOD, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.245-253 Note générale : Bibliogr. p.253 Langues : Français (fre) Mots sujets : Thésaurus PRISME 2014
PSYCHOLOGIE CLINIQUE ; HYSTERIE ; NEVROSE ; MANIE ; OBSESSION ; TROUBLE DE LA PERSONNALITE ; DIAGNOSTIC ; PROJECTIONRésumé : " Cet article expose les résultats principaux issus d’une recherche en psychologie clinique dont l’un des objectifs est la confrontation des diagnostics psychiatriques athéoriques et psychopathologiques psychanalytiques pour des patients présentant une symptomatologie hystérique et/ou obsessionnelle. Ce questionnement sur la nosographie s’inscrit dans le débat actuel entre les approches théoriques et envisage des pistes de recoupement.
La population est composée de vingt et un adultes, seize sujets hystériques et cinq sujets obsessionnels répartis entre hommes et femmes. La méthodologie utilisée renvoie aux deux référentiels théoriques, entretiens structurés MINI et SCID II pour le diagnostic psychiatrique selon la classification du DSM-IV, méthodologie projective psychanalytique, avec les tests Rorschach et TAT, pour l’étude du fonctionnement psychique. Les résultats mettent en évidence la transnosographie psychopathologique des processus hystériques pour les femmes et les hommes au sein des organisations névrotiques, limite et narcissiques, alors que les processus obsessionnels ne se trouvent que dans les organisations névrotiques. Les diagnostics psychiatriques témoignent d’un sous-diagnostic du trouble de la personnalité histrionique et d’un sur-diagnostic du trouble de la personnalité obsessionnelle dans l’hystérie, les points de convergence entre les deux diagnostics étant le trouble dépressif et le trouble anxieux associés à des troubles somatiques (dont des troubles de conversion). Ils témoignent d’un sous-diagnostic du trouble de la personnalité obsessionnelle dans l’organisation névrotique obsessionnelle, les points de convergence résidant dans le diagnostic des troubles anxieux. "
in Perspectives Psy > n°3 (2015/07-09) . - p.245-253Vuillod, M. (2015, Juillet). Hystérie et obsessionnalité au regard du DSM : comparaison de diagnostics psychiatriques athéoriques et psychopathologiques psychanalytiques. Perspectives psy, (3), p.245-253.
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Titre : Exclusion et réclusion des fils et figure paternelle dans la problématique migratoire Type de document : revue Auteurs : Zohra GUERRAOUI, Auteur ; Ivy DAURE, Auteur ; Odile REVEYRAND-COULON, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.254-262 Note générale : Bibliogr. p.262 Langues : Français (fre) Mots sujets : Thésaurus PRISME 2014
DETENTION ; JEUNE ; ENFANT DE MIGRANT ; TRANSGRESSION ; LOI ; GROUPE DE PAROLE ; RELATION ENFANT-PERE ; IDENTIFICATION ; PERERésumé : " Au travers d’entretiens et de groupes de paroles, adolescents et jeunes adultes incarcérés, exclus de et reclus par la société, nous disent leur relation complexe à leurs pères. Apparaît fortement leur difficulté à se construire en tant qu’adultes, à s’identifier à la figure paternelle, dans des relations à des pères fragilisés, stigmatisés dans une société qui les décrit comme de mauvais pères. Ces fils se montrent prisonniers de leur propre ambivalence, tiraillés entre loyauté filiale et désir de s’y soustraire. Ils nous donnent à voir des pères tour à tour inégalables ou/et iniques. Pourquoi cette difficulté, à loi du père, la loi sociale ? Quel sens donner à leurs transgressions ? Qu’est-ce qui a fait défaut dans la transmission ? Cet article tente d’apporter des réponses à ces questions, à partir de deux recherches, l’une en milieu fermé éducatif auprès d’adolescents, l’autre en prison auprès de jeunes adultes, en analysant les modalités des liens, les mouvements identificatoires (identification négative), les rejets, les ambivalences, que ces jeunes incarcérés traduisent dans leurs rapports à leurs pères. "
in Perspectives Psy > n°3 (2015/07-09) . - p.254-262Guerraoui, Z., Daure, I., Reveyrand-coulon, O. (2015, Juillet). Exclusion et réclusion des fils et figure paternelle dans la problématique migratoire. Perspectives psy, (3), p.254-262.
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Titre : Les Violences sexuelles en milieu scolaire ivoirien : une étude descriptive d’un échantillon représentatif de 2 200 élèves Type de document : revue Auteurs : Denis Koménan DAGOU, Auteur ; Zamblé Théodore GOIN BI, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.263-274 Note générale : Bibliogr. p.269 ; Annexe p.270-274 Langues : Français (fre) Mots sujets : Thésaurus PRISME 2014
ELEVE ; VICTIME ; ABUS SEXUEL ; VIOL
Thesaurus Candidats Descripteur
COTE D'IVOIRERésumé : " Ce travail est une étude exploratoire descriptive. L’objectif est d’examiner les manifestations des différents types de violences sexuelles dans les écoles ivoiriennes. À l’aide d’un questionnaire autoadministré, 2 200 élèves ont été interrogés sur l’ensemble du territoire ivoirien. Les manifestations des différents types de violence sexuelle sont par ordre d’importance les sollicitations sexuelles sans contact, l’exploitation sexuelle, les attouchements sexuels et le viol. Au niveau des sollicitations sexuelles sans contact, dans les écoles ivoiriennes, les agressions sexuelles par des plaisanteries à connotation sexuelle et la diffusion d’images pornographiques sont fréquentes. Les victimes sont les élèves les plus âgés des deux sexes. Quant aux plus jeunes, filles comme garçons, ils sont victimes de voyeurisme avec ici une pression pour montrer leurs parties intimes à l’agresseur. Au niveau de l’exploitation sexuelle, ce sont les plus jeunes élèves garçons et surtout les filles, qui sont plus exploités sexuellement par les enseignants. Pour ce qui concerne, les attouchements sexuels, dans les collèges et lycées plus qu’au primaire, les filles sont plus victime que les garçons. Les résultats montrent que les garçons des écoles primaires ivoiriennes et les élèves des collèges sont plus victimes de viols que les filles. "
in Perspectives Psy > n°3 (2015/07-09) . - p.263-274Dagou, D.K., Goin bi, Z.T. (2015, Juillet). Les Violences sexuelles en milieu scolaire ivoirien : une étude descriptive d’un échantillon représentatif de 2 200 élèves. Perspectives psy, (3), p.263-274.
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